C’est le retour du T71 en Coupe d’Europe. Qu’est-ce que ça représente pour vous ?
C’est un grand mérite pour l’équipe vue les résultats des deux dernières saisons. Là, on va se confronter autre chose, au niveau européen.
Que pensez-vous de vos adversaires dans ce groupe ?
C’est un groupe fort. Sur un bon jour, c’est plus ou moins jouable. On va regarder ce que font Fribourg et Lisbonne sur la scène européenne après avoir déjà un peu analyser ce qu’ils faisaient dans leurs championnats respectifs.
Vous attaquez cette campagne européenne par un déplacement à Namur ce soir. Un mot sur cet adversaire ?
Namur en est à deux victoires et une lourde défaite dans son championnat. Mais c’est fort et grand comme équipe. Le physique va beaucoup jouer sur cette rencontre, même si on sait défendre face à ces profils.
La préparation de ce rendez-vous n’a pas forcément été idéale, avec seulement trois matchs disputés depuis le début de la saison, et un forfait d’une équipe adverse. Comment on s’adapte en tant que coach ?
C’était un peu embêtant. Mais on a quand même quelques matchs dans les jambes, on est dans le bain.
Vos joueuses ont un travail à côté pour la plupart, contrairement aux équipes professionnelles que vous allez affronter. Comment compenser cette donnée sur le terrain ?
Je ne pense pas que cela va jouer ce soir. On fait le retour direct demain matin, ça piquera peut-être pour le retour au boulot ou à l’école. Mais sur le terrain ce soir, ça ne changera rien.
Quel est l’objectif pour le T71 dans cette Coupe d’Europe ?
Le but est d’engranger un maximum d’expérience au niveau international et de faire au mieux pour tenter de décrocher une victoire.
N. B : Hier soir, les filles de Gréngewald n’ont pas fait le poids sur le parquet des Espagnoles de Cadi La Seu, s’inclinant 71-47.
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