Moris (8/10) : Face au Liechtenstein, il n’a rien eu à faire. Vexé, le gardien a enchaîné les sorties autoritaires, les parades folles (71e, 90+7), et a même lâché un regard qui a poussé son adversaire à tirer au-dessus un penalty.
Jans (7/10) : Le capitaine n’avait eu que quarante-cinq minutes contre le Liechtenstein. Il a donc profité de sa solidité physique pour être de tout les ballons. Un leader, un vrai.
Mahmutovic / Chanot (8/10) : Ils n’ont quasiment jamais été pris à défaut. Face à Edin Dzeko, et des vagues de centre, ça en dit long sur leur prestation. L’assurance tout risque.
Bohnert (7/10) : Il y a ce très léger penalty. Mais au-delà de ça, quelle débauche d’énergie du latéral, qui a constamment cherché la solution devant, tout en contenant son vis-à-vis.
Olesen (7/10) : Une première mi-temps folle en termes de disponibilité même s’il n’a pas toujours été servi. Moins en vue en deuxième mi-temps, mais on s’en fout, puisqu’on a gagné.
Leandro Barreiro (8/10) : On se répète à chaque match. Il est tout simplement monstrueux. Capable de jaillir en défense tout comme d’offrir un tacle pour le second but. On aurait aimé le féliciter personnellement, mais il est reparti en footing pour le Luxembourg.
Christopher Martins (8/10) : Parfois, il regarde Barreiro en se disant « mais pourquoi il court tant ? ». Car Christopher n’a même pas besoin de perdre six litres de sueur pour dominer l’entrejeu. Une masterclass de contrôle.
Sinani (9/10) : Quand on parle de Sinani, c’est comme quand une grand-mère parle de son petit fils. « Qu’il est intelligent, qu’il est malin, qu’il est fort, qu’il est beau ». A la seule différence de Mamie, c’est qu’ici, le propos est objectif.
Yvandro Borges (7/10) : On aurait pu mettre plus, mais il ne s’agirait pas de trop le mettre en confiance. Pourtant, tous les voyants sont au vert : un tel pressing en début de match montre que le gamin en a envie. Auteur de l’ouverture du score.
Alessio Curci (6/10) : Une immense débauche, un pressing de tous les instants, et un sacrifice inébranlable. Alessio, c’est le mec en soirée qui, même s’il est fatigué, reste pour être le wingman exemplaire.
Luc Holtz (9/10) : Au sein d’une tempête extra sportive, le sélectionneur a maintenu son cap, tenu son groupe, et offert une prestation particulièrement courageuse avec un onze irréprochable. L’entraîneur a vu, définitivement, que son groupe restait bien, bien derrière lui.
Mental Médias SARL
15 Rue Emile Mark
L-4620 Differdange LUXEMBOURG
m : moien@mental.lu