Vous êtes à une victoire des playoffs, samedi, à Contern. Comment abordez-vous cette rencontre ?
On a la même approche que lors des matchs précédents que l’on devait gagner aussi. C’est déjà un exploit d’en être là, personne ne nous pensait capables de faire ce qu’on a fait. Et on va évidemment essayer de se qualifier, de valider cet exploit jusqu’au bout.
Sur quoi avez-vous axé la préparation pendant la trêve ?
On a surtout tenté de ne pas perdre le rythme. On s’est même entraîné les week-ends et on a beaucoup bossé notre endurance pour être prêts ce week-end. C’est sûr qu’il va falloir vite rentrer dans le match après trois semaines de coupure…
Vous étiez au fond du trou en fin de première partie de saison… Vous êtes l’équipe incontournable de la seconde, avec une remontée incroyable. Comme vous le disiez, peu de monde croyait en vous à un moment. Comment expliquez-vous cette métamorphose ?
Par plein de choses, de détails. On a d’abord changé d’entraîneur, puis nos deux professionnels… Mais si on n’avait pas changé notre mentalité également, cela n’aurait servi à rien. C’est grâce à plein de petits pas que les choses fonctionnent mieux désormais. Il y a une super alchimie dans l’équipe aujourd’hui. Cela nous a permis d’avoir du sang-froid et de la force dans les matchs serrés pour les gagner, qu’ils basculent en notre faveur. C’est tout ça qui nous a permis de décrocher des victoires et d’engranger la confiance.
Vos performances des dernières semaines ont-elles changé vos ambitions ?
Notre but est de rester sur cette dynamique. C’est déjà important d’avoir creuser un écart avec les équipes qui risquent de descendre. On avait une petite chance de croire aux playoffs et on y a cru. On a gagné chaque match pour entretenir cette chance. On a notre destin entre nos mains. Encore une fois, c’est déjà un exploit d’être là. On sait que l’on est capable de bien jouer. Evidemment que l’on veut voir les playoffs désormais ! Cela se jouera samedi, sur un match à la vie à la mort que les deux équipes voudront gagner. Si on perd, ce ne sera pas la fin du monde non plus et ça n’annulera pas tout ce que l’on a fait… Mais on va tout faire pour gagner.
Vous êtes la seule équipe des trois équipes qui peuvent encore se qualifier avant cette dernière journée (avec Contern et le T71 Dudelange). C’est forcément un avantage ?
Oui, bien sûr. On doit seulement compter sur nous, on n’est pas obligé de regarder les autres équipes et d’attendre d’autres résultats. Tout est entre nos mains. On est content d’être là et de pouvoir jouer ce gros match décisif.
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